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Expérience de la contre-culture Punk Hardcore
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Expérience de la contre-culture Punk Hardcore

G​.​U​.​N. – G​.​U​.​N.

G​.​U​.​N._G​.​U​.​N.

Décidément le Punk Hardcore souffle une vague de chaleur bien Old School en ce milieu d’année ! On ne compte plus les formations qui cherchent à nous renvoyer plus de quarante ans en arrière et on adore cela chez Pretty Little Sound, preuve à l’appui : Enemy, Imploders, The Hell, Electric Chair ou encore Illiterates.

G.U.N. vibre totalement pour le Hardcore underground et nous renvoie aux jeunes et glorieuses heures des labels No Way, Grave Mistake et Sorry State Records. Info culture, ce dernier soutient d’ailleurs la formation de Nashville dans la sortie de ce premier album et deux des membres officiaient précédemment chez les regrettés Life Trap…

On veut du son qui tâche ! Les premières notes de Gunshot et High Horse sonnent le glas, on a à faire à un Punk crade et criminel. On pense inexorablement à la vitesse éclair d’un Koro, au feeling Surf des Adolescents quand les paroles évoquent un monde malade et désespéré faisant écho à la vérité philosophique du No Values des Black Flag !

Bordel quelle gifle ! Nico Arambatzis est troublant de charisme, invoquant le style primitif du Henry Rollins de Damaged. Connor Cummins est tout aussi dynamique, créant des riffs complètement tourbillonnants et imprévisibles rendant mémorables chacun des dix titres !

La folie de Street Bait et Dangerous Game, les hymnes Sadist Faction et A Prisoner’s Tale, la phénoménale et addictive Sick Sad World, toutes sauront vous atteindre et activer un sentiment irrésistible de nostalgie…n’ayons pas peur des mots, G​.​U​.​N. a livré le pinacle du USHC de ce vingt-et-unième siècle !!!